Ce récit est comme une sonate où les sentiments, pareils aux notes, se succèdent pour construire, vibrer, exister. La vie de Paul ne peut se résumer, mais se vivre, comme les pages d'une partition que l'on tourne, pour découvrir les sons du cheminement... mêlés de moments forts et doux, sous un voile de poésie. En écrivant Les pantins de ma mère, l'auteur a voulu telle une musicienne, composer, dans un enchaînement de ressentis, une vague incessante de mouvements. L'amour chevauchant aux côtés de la souffrance... comme si l'un n'existait pas sans l'autre.