S'il est mort, pourquoi revient-il si souvent ?
Les absents, ce sont encore Les présents qui Les situent Le mieux. Théo est de ceux-là. Enfant, il a perdu son père. Vingt ans plus tard, ce deuil refait surface, après Le retour soudain d'une vieille connaissance. À priori, les immeubles haussmanniens, Le souvenir d'un père, Les barricades révolutionnaires et Le navire naufragé du commandant Charcot n'ont rien en commun. Mais pourquoi pas ?
Loin de mener une enquête rigoureuse, mais en acceptant de se mettre en quête de ses origines et de son passé, Théo imagine des vies qui ne sont pas Les siennes, mais qui sont connectées, de près ou de Loin, à son état présent. Ainsi s'assemblent peu à peu Les pièces d'un puzzle qui n'appartient qu'à Lui, et s'adresse à chacun.
Après L'épaisseur du trait, entre l'Est parisien et Le Finistère, Antonin Crenn poursuit son exploration des espaces et des Lignes de fuite. Avec Les présents, il explore une dimension supplémentaire : Le temps.