De saint Aboutit, dont le nom faisait directement référence au bout
du membre viril, et que les jeunes filles priaient pour trouver un mari,
à sainte Venise, qui se devait d'apaiser les troubles menstruels des
dames, en passant par...
- saint Bernart, qui était le protecteur des maladies anales et des homosexuels,
son nom signifiant alors l'endroit le plus intime de la partie
la plus charnue de notre anatomie.
- saint Cornard, qui était fêté le dernier dimanche
de mai, le jour de fête des cocus.
- saint Foutin, vénéré pour l'émission de semence
pendant l'acte sexuel.
- saint Fercinte, à qui les maris malchanceux
demandaient de ramener dans le droit chemin
leurs épouses volages.
- saint Esprit de la Culotte, un saint très peu «catholique», qui possédait
son pèlerinage annuel et à propos duquel on disait : «À la Saint-Esprit
de la Culotte, on y va à deux, on revient à trois».
...jusqu'à saint Druon de Sebourg, qu'invoquaient les femmes pour leur
éventuelle descente de matrice.
Découvrez les saints et saintes les plus farfelus qui furent et que l'Église
prend garde à ne plus mettre en avant.
Une incroyable plongée dans les folles croyances et dans les us et
coutumes loufoques de nos ancêtres.