« Il faut toujours avoir un arbre sous la main : quand l'ombre descend sur une salle d'attente borgne, un lycée caserne, un mouroir quelconque de notre monde, dessinez-vous le jardin de Grandrif le grelot du noisetier, la haute stature du sapin, le froissement soyeux des peupliers, enroulez-vous à la gouttière de l'atelier parce que vous êtes une treille, mes chéris, les roses les plus parfumées de ce jardin d'Auvergne que nous avons perdu, désormais vu avec les yeux de l'âme... »