Détenir des stock-options, est-ce seulement le privilège des patrons et des cadres de haut niveau ? Ou, au contraire, une récompense au mérite individuel ? Sommes-nous entrés sans retour dans la logique spéculative du «profit pour l'actionnaire» ? La fiscalité doit-elle comporter des exceptions ? Comment taxer cette rémunération d'un autre type ? Le capitalisme à l'anglo-saxonne a-t-il définitivement gagné la partie ?