Les trains des stations thermales
Est et Auvergne
À la fin du XIXe siècle, les cures thermales se développent pour une clientèle aisée, un essor accentué par leur démocratisation après 1945. Les compagnies de chemin de fer vont très tôt s'intéresser à ces voyageurs saisonniers en leur garantissant un confort à la hauteur de leurs attentes, avec des trains directs au départ de Paris offrant une restauration raffinée, et des gares à l'architecture et au standing en harmonie avec les villes thermales desservies. Partant de la capitale, les « trains des eaux » s'aventurent dans des paysages bucoliques au coeur de l'Est et de l'Auvergne. La vapeur s'effacera au milieu des années 1960 au profit de la traction diesel ou électrique.
Ce livre retrace cette riche histoire ferroviaire, aujourd'hui disparue, à travers de nombreuses images et documents inédits. Voyageurs et cheminots sont mis en relief, ce qui donne à cet ouvrage les couleurs de la vie.
Les villes de l'Est présentées dans l'ouvrage sont : Bains-les-Bains, Bourbonne-les-Bains, Contrexéville, Luxeuil-les-Bains, Martigny-les-Bains, Plombières-les-Bains, Vittel et la station climatique de Gérardmer.
...et pour l'Auvergne :
Châtel-Guyon, Evaux-les-Bains, La Bourboule, Le Mont-Dore, Néris-les-Bains, Royat et Vichy.