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Dans un lieu précis, le Médoc, mais qui a l’imprécision de tous ces lieux où la liberté se négocie au canon et à l’arme blanche, se déroule une guerre dans la guerre. 1944, entre le Verdon et Montalivet, des Allemands s’acharnent encore. Il faut les déloger. Non que leur présence ait pu changer le cours des choses : Keitel, dans quelques jours, s’assoira en face de De Lattren, pour signer la capitulation du IIIe Reich. Non que le Médoc ait été - plus que d’autres - un lieu représentatif de l’Occupation : que sont quelques kilomètres carrés, auprès des centaines de milliers qui furent écrasés sous la botte. Mais la liberté, que l’on doit conquérir, est autant un symbole qu’une réalité ; surtout quand cette conquête est menée par une poignée de gens, qui n’ont pas fait de la guerre leur métier, et dont la lutte est une affirmation d’eux-mêmes, autant par rapport à ceux qu’ils combattent, que par rapport à ceux qui sont les compagnons de leur combat. Résistants passés à l’action, va-nu-pieds de leur liberté, ils sont les occupants - sans titre - de tout un pan de notre Histoire, continuateurs d’un combat ancestral, et annonciateurs - déjà meurtris - de ceux qui restent à mener. Universitaire, journaliste, écrivain gascon, Robert Escarpit n’a jamais quitté son pays… même pour faire la guerre. Quelque quarante ans après, il se penche sur une page de son histoire personnelle, qui est aussi une page oubliée de l’Histoire de France. Mêlée à l’ironie, qui fut - pendant trente ans - celle du chroniqueur quotidien du Monde, on retrouve l’amour de la terre et des hommes, qui est celui du chroniqueur hebdomadaire de Sud-Ouest Dimanche.