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Mai 1701. Douze années ont passé et aucun habitant de la colonie n’a oublié le massacre de Lachine et les deux cents colons et villageois français qui ont perdu la vie aux mains des Iroquois en cette nuit fatidique d’août 1689. Pas même Agathe, pourtant plus occupée que jamais par une sixième grossesse, ses nombreuses préoccupations familiales et commerciales, et un mari toujours aussi absent. Comme si ce n’était pas suffisant, elle tente sans grand succès de convaincre Jeanne d’oublier son bref mariage avec le beau Jérôme. « Plus facile à dire qu’à faire », lui répète inlassablement sa petite soeur sur tous les tons. Si fuir le foyer conjugal était une question de survie, Jeanne est néanmoins sortie brisée de cette union. L’idée d’ouvrir une fabrique d’étoffes à Ville-Marie trône encore au premier rang des rêves qu’Agathe entend réaliser. Soutenue dans sa folle entreprise par sa fidèle collaboratrice et amie Perrine, elle ne désespère pas de trouver des métiers à tisser et des tisserands pour les opérer. À cette époque où la mère-patrie menace de les abandonner, les habitants de Ville-Marie mesurent bien l’importance d’assurer leur autonomie. Agathe, armée de sa proverbiale ténacité, continuera de rallier les gens autour d’elle et de déjouer l’adversité dans la poursuite de ses valeureux objectifs. De fil en aiguille et d’une petite victoire à l’autre, elle s’impose de plus en plus comme une des pierres d’assise de ce pays qui prend du galon.