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Dans la vaste bibliographie qui relate l’« opération Barbarossa », l’agression hitlérienne à l’Est contre l’URSS, peu nombreux sont les ouvrages concernant le siège de Leningrad (les derniers en Français, traduits de l’anglais, datent de 1962 et 1970). Pourtant, commencé dès la fin de juin 1941, ce siège se prolonge jusqu’à janvier 1944, dure 900 jours et fait 1 million de morts. Dans l’échelle de l’horreur, comme dans la compétition pour la palme de la résistance à la ruée nazie, Leningrad n’a rien à envier à Moscou ou Stalingrad. En soi, le récit de ce siège (aucune grande ville, à part Paris en 1870, n’avait connu un siège comme on les effectuait au Moyen Âge) qui montre aussi bien l’héroïsme de la population de la ville que les incapacités du système soviétique est poignant et riche en enseignements historiques. Mais, resitué dans son contexte, le siège de Leningrad, son martyre, illustrent tous les grands problèmes du moment. Le système stalinien, l’arrogance du dictateur, la lâcheté de son entourage, l’horreur des exactions nazies et l’inhumanité des présupposés d’Hitler et de ses complices, la situation internationale qui, sur la durée du siècle – avant et après l’événement –, se nouent ici aussi. Le tout sans oublier les figures des assiégés et celles des assiégeants car, avant tout, il s’agit d’une sanglante aventure humaine.