Thérèse de Lisieux écrivit seize lettres à un séminariste, Maurice Bellière, et à un jeune prêtre, Adolphe Roulland, tous deux destinés à l'aventure missionnaire, l'un en Afrique, l'autre en Chine.
Cette correspondance déploie dès les premiers courriers les signes d'une amitié spirituelle étonnante. Ces jeunes hommes, enthousiasmés par les encouragements de la petite carmélite, réaliseront le rêve de Thérèse: «Être à la fois prêtre, prédicateur et missionnaire.»
Maurice et Adolphe, que Thérèse ne verra jamais, auront été finalement ses meilleurs amis sur la terre.
Dans ces lettres bouleversantes, Thérèse parle de la mission, bien sûr, mais aussi du sacerdoce, de la vie sacramentelle, de la communion des saints, de la fécondité de la prière, de l'amour de Dieu qui change la vie et de la joie chrétienne.