Mais parmi tous ces papiers marqués par
l'usure, et qui semblaient avoir été jetés pêle-mêle
au fond de la malle, figuraient des lettres
écrites par Antonia Maria Arellano,
soigneusement glissées dans des pochettes
plastiques, ainsi que son journal, tenu dans
un cahier visiblement récent. Ces lettres, elle
les avait adressées à Antoni Gaudí.
Elle les appelait ses lettres-poèmes.