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Une proposition insolite pour considérer l'euthanasie dans un futur proche
La maladie est injuste, le cancer est injuste et la mort l'est aussi. Bernard Lebeau le sait bien, lui qui accompagne ses malades. En imaginant un futur proche, celui de 2014, où une loi française légaliserait le recours à l'Euthanasie, B. Lebeau invente un nouveau métier ; celui d'Euthanasieur.
En pleine préparation de la loi sur la fin de Vie, le livre du Professeur Lebeau permet une réflexion forte, ouverte et basée sur des cas réels.
CE QU'EN DIT LA CRITIQUE :
Ce livre prenant, incroyablement audacieux et fort, aborde ici deux questions essentielles de la vie et de la fin de vie : « Sommes-nous égaux devant la souffrance de la maladie, et sommes-nous certains de vouloir accepter de souffrir ? » - France Culture
EXTRAIT :
Les progrès de la médecine ont abouti, notamment au cours de ces trente dernières années, à allonger en permanence l’espérance de vie. Cette progression ouvre la voie à une situation nouvelle dans les pays démocratiques, économiquement avancés : celle de la demande, légitime, de la part de la population, d’accroissement de l’espérance de santé. L’exemption de maladie, soit par traitement, soit par prévention, ne suffit plus. Les personnes réclament dorénavant le droit à l’accession au bien-être et à leur propre épanouissement. Cette progression conduit ainsi à une demande corollaire, qui, en première analyse, peut paraître paradoxale, celle du droit à une « belle mort ». Puisque la science a été capable de nous faire bien vivre, elle doit l’être également de nous faire bien mourir. Le questionnement sur l’euthanasie, récurrent dans la réflexion éthique, est de nouveau abordé dans cet ouvrage par Bernard Lebeau, mais de manière originale. Il le fait avec un souci d’ouverture la plus large possible du débat, de convergence dans le cheminement réflexif, je dirais presque de convivialité. Il s’appuie intelligemment sur son expérience de praticien ayant exercé des responsabilités hospitalières louées par ses pairs, mais aussi par les malades dont il a eu la charge. Nous ne sommes plus là plongés dans le sempiternel contexte d’un affrontement idéologique, spirituel, ou religieux. Bernard Lebeau nous propose un compagnonnage, nourri si nécessaire de confidences, de conciliabules, mais dont les résultats seront finalement, et d’un commun accord, ouverts à tous, pour qu’enfin la finitude de chacun soit vécue (quel oxymore!) sereinement par le plus grand nombre.