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Rodrigo García, autor de Cenizas escogidas, Barullo y otros títulos que venimos publicando desde 2005, lanza a la yugular dos historias con su mordiente, dos historias recíprocas, ilustradas por ATA y vinculadas por un mismo nexo:¿Y si un virus además atacara al lenguaje, a nuestra forma de expresarnos? Es decir, un léxico que, según pasa el tiempo, va haciéndose radioactivo, insertándose no sólo en las vías respiratorias sino también en el habla.O como leemos en el primer relato: "Que las mascarillas desvirtúen nuestras palabras y consigamos poesía de carambola, por la torpe e incómoda pronunciación, por falta de oxígeno en el cerebro o por el atasco de la enunciación en el tejido de cada bozal. [...] Sometidos nuestros pensamientos a tal despótica uniformidad, la herencia que recibirán los críos que acaban de soltar la teta de sus madres será un vocabulario sulfúrico. Un léxico radioactivo. Dos guerras mundiales, las guerras napoleónicas, las conquistas de Alejandro de Macedonia duraron menos ?la de ahora no ha hecho más que empezar? y quitaron la vida a no tantos seres humanos".En la segunda historia, de título kilométrico, Rodrigo García ubica la acción en uno de sus lugares predilectos, y con razón, pues: "No hay edificio vacío de mitos, no hay piedra carente de fantasía; en su descripción de la región de Élide leemos dónde Alfeo se enamoró de Ártemis o dónde se encuentra la casa que los sacerdotes sellan con rocas luego de dejar varias vasijas vacías en su interior, ánforas que más tarde aparecerán rebosantes de vino, en las fiestas de Dionisio. Si a día de hoy Pausanias acometiese una empresa de este calibre, si tuviese que explorar y reseñar una región cualquiera de Europa, supongo que su periplo transcurriría por supermercados y centros comerciales".