Ce lexique repose sur un manuscrit (BnF syriaque 423), qui, pour partie, traduit des extraits de Galien et de Dioscoride, mais propose aussi un texte inédit rédigé directement en syriaque et qui offre une quantité de noms de plantes médicinales, mais aussi de produits animaux ou minéraux entrant dans les compositions pharmacologiques. Les noms de ces ingrédients sont souvent glosés dans des langues comme le grec (les plus nombreux), l'arabe, l'arabo-persan.
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