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Bertrand Morane avait une quarantaine d’années. Il vivait à Montpellier où il travaillait comme ingénieur à l’Institut Études de la Mécanique des Fluides. C’est un métier qui le satisfaisait mais auquel il cessait de penser dès qu’il avait franchi les portes du laboratoire car la passion de Bertrand était exclusive : la femme, les femmes, toutes les femmes. Pour Bertrand les jambes de femmes étaient des « compas qui arpentent en tous sens le globe terrestre, lui donnant son équilibre et son harmonie ». Ni playboy ni dragueur traditionnel, Bertrand était un chasseur solitaire et anxieux. Il n’avait pas de famille, pas d’amis et, sur son agenda, en face de la mention « Personne à prévenir en cas d’accident », il n’avait inscrit aucun nom. Comme tout le monde, Bertrand avait souffert, comme tout le monde, il avait fait souffrir, peut-être un peu plus que tout le monde… Il éprouvait une émotion véritable en face de chaque nouvelle femme, chacune lui semblait posséder quelque chose d’unique et d’irremplaçable, une promesse de plaisir qu’il ne fallait pas laisser se perdre. L’Homme qui aimait les femmes est à la fois le roman que le personnage principal du film écrit et le scénario du film de François Truffaut vient de tourner.