
« C'est la désinfection vive la déconstruction
Dieu me tripote dieu me boulotte
Je suis le pharmacon remède et poison
Je suis l'écrivain virus et révolution
Me voilà infecté me voici dépecé »
« Dans les carnets de l'écrivain admiré, l'homme qui Lit voit la naissance de la mort, littéralement : son oeuvre. Je le dis. Je pleure comme un enfant cul nu et morve au nez en lisant ces pages-là de Georges Bataille, les pages qu'on a à la fin des oeuvres complètes, le troisième tome, ce sont les notes tirées des carnets, des ajouts, des textes et des images non intégrés dans l'oeuvre, de surcroît : la joie d'écrire face à la mort, dans le texte. »
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