Cet ouvrage analyse l’héritage du ius commune et l’éclosion d’un fonds juridique commun en Europe, aussi bien en droit public qu’en droit privé. Au XIXe siècle, les réformateurs (auteurs et législateurs des principaux États d’Europe) pensent-ils « droit national » ou « fonds commun » ? Au-delà des tensions entre États, de nouveaux réseaux de juristes européens éclosent-ils ?
Avec le soutien de l’université de Rennes 1.