« L'inondation offre un dispositif intéressant, qui permet d'entrer dans l'intimité des habitants d'un immeuble : on a le sentiment de pénétrer toujours davantage dans leurs intérieurs éclairés, la plume de Raluca Antonescu en guise de faisceau lumineux sensible et respectueux. Enfin, l'eau creuse ses sillons dans l'imaginaire, fait fondre les rigidités, ouvre des passages entre les étages et des voies vers soi et l'autre. La rencontre entre les habitants transformera leurs vies ».
Anne Pitteloud, Le Courrier (octobre 2014)