J'appelle littéralicisme la joie venue d'un bonheur d'expression né d'une traduction trop littérale. Devant l'abrupte non-rondeur de tournures sans auteur, n'étant pas plus inventives que choisies, l'art qui consiste à les cueillir et les rogner pour ne pas les signer, est question de ne pas faire du concassement le trop-plein.