« Puis, une fois de plus, il reprit connaissance. S'appuyant sur ses coudes, il contempla les sommets étincelants. Ils s'élevaient en gradins, immobiles et superbes entre la terre et le ciel. Il les fixa jusqu'à ce que toute sa vision s'obscurcît, et les montagnes, trônant en majesté, si nettes et si fraîches, lui semblèrent posséder ce que précisément il avait perdu. »
D.H. Lawrence, « L'officier prussien », 1913.
L'Officier prussien et autres nouvelles