Le dernier texte de fiction que publie André Ruyters ne paraîtra jamais en volume – sauf en 1988 dans le tome III des Œuvres complètes établie et annotée par Victor Martin-Schmets au Centre d’Études Gidiennes et, désormais, ici.
Si l’intégralité du texte de L’Ombrageuse est connue, c’est d’abord qu’il a été réparti sur quatre livraisons de La Nouvelle Revue française, d’octobre 1910 à janvier 1911, à raison d’environ 35 pages mensuelles, soit, sans y regarder de trop près, un quart de chacun de ces numéros (la pagination est variable). Ce n’est pas rien...