
« J'ai eu de la chance, beaucoup de chance, dans mes entreprises. J'aurais pu me rompre le cou des dizaines de fois sur le domaine, sur les églises où des vitraux étaient à créer ou à restaurer. J'ai coutume de dire que deux anges gardiens assurent ma protection. Un seul ne suffirait pas. Et si Hermine était l'un d'eux ? Cette idée me traverse depuis peu. Pourquoi pas ? Après tout ce que j'ai endossé pour elle. »
D'abord, il y a Martinrou, la ferme ancestrale convertie en lieu de théâtre et de création. Ensuite, il y a Hermine, la grand-mère emblématique au destin brisé qui n'en finit pas de hanter ce qui fut son domaine. Enfin, il y a l'auteur de ces lignes, en charge de ce bien familial, qu'obsèdent quatre pages ensanglantées et douloureuses.
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