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Pendant deux ans, le journaliste Frédéric Laurent a patiemment remonté les filières de cet « Orchestre noir » dont les activités contre la liberté et la démocratie ne semblent pas connaître des frontières. En France, en Italie, au Portugal, en Grèce et ailleurs, il a rencontré des magistrats, et même des policiers et des officiers indignés par les appuis dont les réseaux néo-fascistes bénéficient souvent au sein des services secrets officiels. Grâce à leur aide et aux documents — souvent inédits — qu'ils ont accepté de lui communiquer, Frédéric Laurent retrace ici l'histoire de l'activisme d'extrême-droite en Europe du Sud depuis la guerre. Partout, le scénario est chaque fois le même : dès que les forces de gauche arrivent à portée du pouvoir, l'extrême-droite riposte par la création d'un climat de terreur propice au rappel des partisans de 1'« Ordre ». En Italie, depuis dix ans, ce phénomène a trouvé un nom : la « stratégie de la tension ». Mais cette utilisation moderne de l'activisme de droite a une histoire. Tout a commencé, au lendemain de la guerre, lorsque passant de l'antifascisme à l'anticommunisme, les états-majors alliés ont voulu récupérer beaucoup de ces spécialistes de la lutte contre les « Rouges » qu'étaient les anciens Nazis. Les guerres de décolonisation ont ensuite fourni aux nouveaux croisés de l'ordre ce qui allait devenir leur arme privilégiée : la « guerre psychologique ». Frédéric Laurent, 32 ans, est journaliste à « Libération ».