Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
En el Bausler Institut, un internado femenino situado en el cantón más retrógrado de Suiza, el Appenzell, se respira una densa atmósfera de cautiverio, sensualidad inconfesada y demencia. En estos parajes por los que paseaba el escritor Robert Walser, y donde se suicidó tras permanecer treinta años en un manicomio, se desarrollan la infancia y la adolecencia de la narradora, quien las rememora desde la madurez. En ese colegio imaginario que permanece, transfigurado, en la memoria, la narradora se sentirá irremediablemente atraída por la «nueva»: hermosa, severa, perfecta, figura enigmática que parece haberlo vivido todo, y que le deja entrever algo a la vez sereno y terrible. El estilo lacónico y terso, casi punzante, la sagacidad de las reflexiones más sutiles, subrayan la intensidad de esta historia implacable. Hacen vibrar una cuerda secreta en ese mundo desvinculado de la realidad, en que la vida se ha visto «pasar por las ventanas». Entre el desconcierto, la atracción y el temor, una insólita emoción trastoca al lector, como si en el centro de un jardín bien cuidado viera cómo se desata una vorágine.