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A Antón Castro, desde niño, le fascinaban por igual delfines, ballenas y sirenas. A los primeros los vio, a las segundas las imaginó gracias a Álvaro Cunqueiro, Rafael Dieste, Gonzalo Torrente Ballester y, por supuesto, a Homero y Borges. Los bestiarios siempre le han interesado, y a su modo, sin prisa, ha ido confeccionando alguno. Los seres imposibles es uno de ellos, cotidiano y a la vez onírico, y un homenaje al Aragón hospitalario que lo recibió en 1978. Con las bestias y las apariciones, aquí están la pasión de contar, el sortilegio de las fábulas, los sendas del trasmundo, el amor y multitud de paisajes. Por haber, hasta hay un cocodrilo en el Canal Imperial, y un siluro gigante danza bajo la luna en el pantano de Maidevera.