« La vieille ville... La vieille ville ! »
C'est cette exclamation qui a guidé les pas et le regard de Frédéric Angot et Jean-Pierre Lacombe dans les « ruelles étroites d'Aurillac, celles aux pierres ciselées, aux baies ouvragées, aux marqueteries savantes, aux fontaines en grâce » où le basalte domine en maître, mais aussi vers les formes contemporaines qui racontent l'usage actuel de cette ville résolument à la campagne.
Toutes les lumières y jouent leur théâtre, celle du soleil qui ne fait pas toujours sa loi, celle de la pluie se déclinant en clairs-obscurs raffinés, celle de la neige et de son bref adagio de noir et blanc. La découverte est saisissante, y compris et peut-être surtout pour tous ceux qui auraient juré connaître Aurillac en son âme.