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Instruits par leurs familles, les marins du XVIe siècle sont des aventuriers. Richelieu, Colbert puis Seignelay les acheminent vers un métier qui s’apprend et dont la formation est prise en charge par l’État. Le corps des officiers de vaisseau du Roi passe alors sensiblement du statut de « gros mariniers nourris dans l’eau de mer et la bouteille » (Richelieu), à celui de « chevaliers frisés ». Au XVIIIe siècle, les officiers « savants » prennent naissance dans les trois compagnies de gardes de la marine de Toulon, Brest et Rochefort. Mais les malheurs de la guerre de Sept Ans font naître dans le royaume la contestation d’un système qui apprend les mathématiques aux marins mais semble leur avoir ôté l’ardeur combative qui assurait leurs succès aux Duquesne, Bart et Duguay-Trouin. De la guerre de Hollande à la mort de Suffren, Messieurs les gardes forment la pépinière du corps des officiers de la marine de guerre, tantôt indisciplinée et turbulente, tantôt studieuse et « savante », continuellement partagée entre le désir de combattre et l’obligation de s’instruire,