Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
En 1928, Jean Gaulmier s’engageait au 17e Régiment de tirailleurs sénégalais dont le dépôt était à Beyrouth. Il y connaissait des moments de camaraderie inoubliables, des plaisirs grossièrement doux et des joies délicates, des drames, des détresses subtiles, des travaux serviles exécutés sans goût, seulement animé par la crainte d’une punition, des heures et des heures d’infinies nostalgies, la fatigue des journées inutiles qui pèsent sur les corps... C’est ce monde de la Coloniale, aujourd’hui disparu, qui est raconté dans “Matricule huit”. On y croise des êtres pittoresques et poignants : Kuntz qui copiait des chansons et des fables ; Lucienne, la petite de l’Assistance, épouse du fourrier Maillart pris au piège du jeu ; Riri sitôt retrouvée dans un bouge du boulevard de la Chapelle, sitôt disparue, et tant d’hommes et de femmes au destin dérisoire et bouleversant. Après l’accueil du public et de la critique qui a magnifiquement salué la seconde vie de “Terroir”, paru une première fois en 1931, c’est “Matricule huit” qui, 50 ans après, est offert aux lecteurs. Ce “Matricule huit” qui fit dire à André Demaison : “Il eut ajouté à la gloire de Kipling”.