Les temps et les points de vue changent.
La mauvaise herbe, qu'elle soit horticole
ou symbolique, s'avère aujourd'hui pleine
de nuances et d'intérêt : jardiner avec
les mauvaises herbes, redécouvrir son jardin,
parler d'écologie, voir à nouveau des
coquelicots dans les blés, s'inspirer de jardins
de mauvaises herbes, admirer les friches,
soulever le débat des invasions botaniques,
plonger en Méditerranée, firter avec l'anarchie,
interroger les artistes, prendre goût au
sauvage, déguster une salade de fleurs...
Bref, vivre, grâce à ce livre, une petite
révolution culturelle.
La mauvaise herbe serait une lubie de jardinier ?
Elle s'en fiche, elle est libre.