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Au mois d’avril 1984, le cyclone Kamisy a mis à nu la terre mahoraise et sa population. Toute la presse, ayant fait largement écho de cet événement tragique, l’île surnommée « la cendrillon de l’empire colonial français » fit brusquement irruption dans notre vie. Il faut bien le reconnaître, nous ne savons pas grand-chose de Mayotte. De ce fait, l’étude minutieuse réalisée par Vincent et Claire Fauveau sous le titre « Mayotte, coutumes et traditions » doit nous permettre de mieux comprendre, de mieux aimer, en un mot, de respecter Mayotte et ses 55 000 habitants, ceux de la Petite Terre et de la Grande Terre. Mayotte, c’est un peuple avec sa religion et ses croyances parallèles, ses langues diverses et ses coutumes, ses légendes et ses traditions, ses interdits et ses richesses ancestrales. Nous comprenons donc pourquoi l’unité du peuple mahorais réside davantage dans « une communauté de lieu de vie, de religion (l’Islam), de mode de vie et de culture. » Et si le m’zungu (l’étranger) rencontre sur son chemin un Mahorais portant sa veste à l’envers, il doit savoir que ce dernier agit ainsi pour tromper le génie qui s’amuse à égarer le voyageur… Toute une philosophie de la vie, une certaine inconstance, une parfaite modestie, un sens des traditions lui permettent, non seulement de déjouer le mauvais œil et les esprits malfaisants, mais surtout de participer pleinement à la fête de la vie. Jean-François Sam-Long