Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Faute d’un enseignement particulier, la médecine générale apparaît comme la parente pauvre de la profession, voire la branche des ratés de la Faculté. C’est pourtant le médecin généraliste auquel on s’adresse quand « ça ne va pas ». Ce médecin, si proche par sa fonction, et en même temps si lointain pour certains qui ne savent pas comment s’adresser à lui, qui est-il ? Comment voit-il son rôle et que souhaite-t-il ? Jean Carpentier, médecin généraliste « de quartier », montre - à partir de cas concrets - que les symptômes de la maladie expriment un mal-être plus complexe que la maladie elle-même, et qu’il n’est pas facile de l’interpréter. Aucune formation ne prépare à ce rôle, et la bonne volonté ne suffit pas. La médecine actuelle, trop compartimentée, échoue souvent à répondre au « langage » de la maladie, de même que le malade échoue à s’exprimer autrement que par des symptômes. Comment être (et comment former) un médecin qui puisse briser tant d’incompréhension, sans pour autant risquer son propre équilibre à force de vouloir se mettre à la place de son patient ? C’est là que le réseau de quartier peut jouer un rôle de relais. Sans se substituer à l’équipe médicale, ce réseau de convivialité devrait permettre de dénouer des tensions, et d’établir une distanciation telle que la maladie soit réinstallée sur sa véritable scène. Une réflexion lucide et généreuse sur un des grands problèmes de notre société.