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Elisabeth Reicharts zweiter Gedichtband beginnt mit einem zärtlichen TROTZDEM, sieht mit Eulenaugen auf verstörende Zusammenhänge, wird zu einem Zyklus der Elemente, die nicht für sich allein stehen, sondern als untrennbarer Teil von uns selbst aufleuchten, vielschichtig in ihren Funktionen, mythisch verankert. Für das Wasser, lebenswichtig und verschlingend, findet die Lyrikerin außergewöhnliche Bilder, die uns tief hineinziehen in eine faszinierend grausame Wahrheit. Wir verschmelzen mit den Elementen, bis wir das Wasser als unser Sein erkennen, den Wind als unseren Atem-Wind. So wird der als störend und zerstörerisch wahrgenommene Außenseiter zum Symbol für das Abgelehnte. Nach "In der Mondsichel und anderen Herzgegenden" überzeugt Elisabeth Reichart mit dem vorliegenden Gedichtband erneut als Lyrikerin. In teils wortgewaltigen, teils leisen Gedichten entwirft sie eine Poetik der Elemente und Himmelsrichtungen, der gewaltigen (auch gewaltig schönen) Natur, der Liebe und ihres Verschwindens. Ihre Sprache verzaubert, weist alle Zumutungen von sich, erhebt uns zu sich. Reichart schafft Bilder, vibrierend vor Sehnsucht, deren Schönheit durch vielfältige (nicht nur elementare) Bedrohungen in die Sprachlosigkeit aufgelöst wird. Zurück bleibt eine Poesie der Gratwanderung zwischen trügerischer Leichtigkeit und dem Abgründigen – verführerisch nach beiden Seiten.