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"Mama, wenn du weinst, musst du auch viel trinken", riefen die kleinen Söhne von Susanne. Sie sorgten sich, denn erst war ihre Mama schwer krank und dann starb ihr Papa. Obwohl Susanne durch ein Trauerland zog, erlebte sie nicht nur Dunkelheit und Wüste, sondern auch Licht und Oasen - und eine ganz besondere Reiebegleitung. Susanne Ospelkaus erzählt von einem Jahr, in dem sie selber schwer krank wurde und mit 31 Jahren ihren Mann verlor. Plötzlich war sie mit ihren zwei- und vierjährigen Söhnen alleine. Alles hatte sich verändert, aber die Sehnsucht nach Leben und Liebe, Leichtigkeit und Kinderlachen blieb. Keine Reise dauert ewig, auch nicht im Land der Trauer, und manche Sehnsucht wird unterwegs gestillt. "Susanne Ospelkaus hat in ihrem Leben nicht nur große Verluste zu verwinden. Sie ist in ihrer ganz eigenen Art, davon zu berichten, eine wortgewaltige Poetin. Ihre Erzählung mal eindrückliche, zu Herzen gehende und entwaffnend ehrliche Alltagsbilder, die sich in der Seele einnisten. ´Meine Reise durch das Trauerland´ hat mich sehr angerührt." Arne Kopfermann, Musiker und Autor