Les oeuvres de Stéphane Couturier à l'usine Toyota de Valenciennes se situent, par leur protocole, leur matière et leurs formes, en rupture flagrante avec le régime documentaire de vérité de la photographie. (...) Mais la rupture n'est pas totale.
Entre numérique et argentique, entre le détachement du réel et la persistance d'une adhérence aux choses, les oeuvres proposent une sorte d'«abstraction figurative», un mélange et un choc de formes, de réalités, de régimes de vérité, de nature d'images - photographie et peinture. A. Rouillé
Stéphane Couturier's works at the Valenciennes Toyota factory are in a flagrant break away - in their protocol, their content and their forms - from photography's documentary system of verity. (...) But the break away is not a total one. Somewhere between digital and gelatin silver technique, between detachment from the reality of things and persistence of close adherence to them, the works propose a kind of «figurative abstraction» - a combination and shock of forms, of realities, of systems of verity, of the nature of the imagery - photography and painting. A. Rouillé