Mémoires d’une enfant dérangée s’adresse « à toutes les petites filles qui neveulent plus être sages ». Et l’on pourrait même ajouter : à tous ceux et celles qui rêveraient de renouer, ne serait-ce que le temps d’une lecture, avec leur enfance ; qui voudraient avoir de nouveau l’âge où malice et candeur se confondent, où tout est encore possible, où tout est essentiel.