Mémoires inutiles
Sur Venise au XVIIIe siècle (le théâtre, le carnaval, les intrigues, les complots) : le livre des livres ! Le plus drôle, mais surtout le plus méchant de la littérature de l'époque - Schopenhauer faisait son régal de l'intraitable Gozzi. Intraitable... et pourtant bizarrement pathétique : car le comte Gozzi, prompt à s'amouracher des pires garces, est la première victime de cette commedia qui élève la rosserie au rang des beaux-arts.
« Une sorte de Léautaud transalpin. Bref, le plus vénitien des Vénitiens. »
J. R. Van Der Plaetsen
« Une atmosphère à la Tourgueniev, à la Tchekov, avec en plus la couleur du pays de Polichinelle et d'Arlequin. »
Dominique Fernandez, Le nouvel observateur
« Une éclatante traduction de Nino Frank, auquel on doit une préface qui vaut, à elle seule, le détour. »
J.-M. de Montremy, La croix