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Sind Krieger- und Kriegs-Denkmale heute noch zeitgemäß?Seit ca. 200 Jahren gelten Denkmäler nicht mehr ausschließlich Herrschern, sondern zunehmend auch gefallenen Soldaten. Hier findet sich die Geschichte der Krieger- und Kriegs-Denkmäler, unter besonderer Berücksichtigung des letzten von Deutschland gewonnenen Kriegs von 1870/71 bis zu den offensiven Denkmälern aus dem 3. Reich und was aus ihnen wurde.Brauchen wir diese Monumente, die Agressoren, die millionenfachen Tod über Europa brachten, als Helden ehren, noch? Die kosten nicht nur, sondern verletzen die Ehre der (Nachkommen jener) Menschen, die von den Nazis überfallen, verfolgt, gefoltert und getötet wurden; auch wenn den dt. Kriegs-Verlierern unser Dank gehören könnte: Stell Dir vor, sie hätten gewonnen. Und: Ist es nicht an der Zeit, Denkmäler dieser totbringenden Fremdenfeindlichkeiten aus der Vergangenheit zu lösen, und sie - wie z. B. am Trafalgar Square in London - zukunftsschwangeren Themen zu widmen?Vor allem in Dörfern und Kleinstädten besetzen diese Gedenkstätten oft zentrale Plätze, die heute sicherlich konstruktiver genutzt werden könnten. Wer würde Krieger- und Kriegs-Denkmäler vermissen? Viele Menschen wären erleichtert, die Freude über Alternativen wie lauschige Sitzecken oder Schulgarten-Anlagen statt der permanenten Erinnerung an Kriegzeiten groß.Bislang entstanden zu wenige Alternativen, wie Gegendenkmäler für die Opfer nationaler Gewalten.Dieser Titel ist der Grüne Zweig NR 275 aus Werner Pieper s Medien-Experimenten The Grüne Kraft.