Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Entre souvenirs d’enfance, petites mythologies marines, trésors de la littérature et bestiaire aquatique, Christophe Ono-dit-Biot nous propose une fascinante déclaration d’amour à la mer. « Tout le monde sait, aujourd’hui, combien la mer nous est essentielle. Essentielle, même, à notre survie. Mais sait-on que si la mer meurt, c’est aussi un imaginaire qui meurt ? Un immense réservoir de connaissances, mais aussi de rêves, d’aventures, d’émerveillements, de littérature, d’œuvres d’art, d’expériences fondatrices qui ont toujours permis aux êtres humains de donner corps à leurs désirs d’ailleurs, de recommencement, de sagesse ? C’est cet imaginaire que je veux, ici, partager, en racontant ma mer intérieure à travers quelques histoires d’eau. Ces textes, j’aurais pu les glisser dans des bouteilles confiées aux vagues. Ils dessinent les contours d’un cabinet de curiosités personnel et nomade, le petit musée aquatique que je porte en moi. Puisse-t-il donner à d’autres des raisons supplémentaires d’aimer la mer. »