« Après avoir écrit, il y a un demi-siècle (sic), les Impromptus à loisir (Le Grand Vizir, Le défunt, Poivre de Cayenne, etc.), j'étais loin de me douter que ceux-ci continueraient de faire le bonheur des cours dramatiques et d'être joués un peu partout dans le monde, tant par les professionnels que par les nombreuses troupes d'amateurs.
Aussi, aujourd'hui, fort de cette alliance avec le temps, j'ai repris la plume, trempée dans un encrier d'ironie et de tendresse, pour donner vie à d'autres petites pièces en un acte, plus obaldiennes que jamais !
Elles réjouiront encore, je l'espère, acteurs et spectateurs. »