Et quant à nous autres, les «chansonniers» qu'on traîne hors des chaussées poétiques, nous sommes assez à l'aise, dans nos propres caniveaux, pour que nous n'aimions pas à être éclaboussés par d'illustres passants. La boue, c'est la boue, et que les passants passent. Caussimon, dans son caniveau se tient debout, tout seul. Ça valait la peine d'être dit.