Condamnation de la profanation du monastère grec-orthodoxe de Jérusalem
7 février 2012 - « Le Conseil des Institutions religieuses de Terre sainte condamne les actes de profanation et les graffitis sur le monastère grec-orthodoxe de Jérusalem », dans la nuit du 6 au 7 février 2012, indique un communiqué de ce Conseil, qui refuse l'instrumentalisation des lieux saints. Il invite en même temps « les personnes de toutes confessions - chrétiens, juifs et musulmans - à respecter tous les Lieux saints et les sites des trois religions », et il « décourage fortement le comportement des extrémistes qui exploitent ou impliquent les Lieux saints religieux dans un conflit politique et territorial ».
Cet appel, publié en français par le site du patriarcat latin de Jérusalem, est signé par ce Conseil au nom du Grand Rabbinat d'Israël, du Ministère du Waqf et des affaires religieuse de l'Autorité palestinienne, et des Chefs des Églises locales de Terre sainte.
(...)sence, entre autres, des rabbins David Rosen et Elia Enrico Richetti, et celle du théologien anglican Nicholas Thomas Wright, qui interviendra « avec force et délicatesse » sur la vérité de la résurrection.
« Jésus, notre contemporain est un événement exceptionnel », a déclaré le maire de la ville de Rome, Gianni Alemanno, à la fin de la conférence de presse.
« Du point de vue de l'homme ordinaire il y a scission entre le personnage historique de Jésus et la tendance à voir sa divinité comme un fait abstrait, et ce congrès relève le défi de rompre ce mur », a-t-il commenté.
Selon lui, il « montre que la vie quotidienne ne devient positive que lorsqu'elle elle se retrouve en de grands points de référence comme les professions de foi ».
Pour le premier citoyen de Rome, « revoir "l'accroche" charnelle entre la personne de Jésus et la divinité est une nécessité urgente pour notre époque, et la voie où il est possible de donner vie à un humanisme moderne ».