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Du surréalisme — auquel il participe dès 1924 — à l’ethnologie qu’il découvre lors de la mission Dakar-Djibouti, du Collège de sociologie — qu’il fonde aux côtés de Bataille et de Caillois — aux voyages récents en Chine et à Cuba, une même recherche gouverne la vie et l’œuvre de Michel Leiris. Échos multiples de la poésie et de la science, des jeux surréalistes sur le langage, et des études sur la langue secrète des Dogons ; convergence des essais sur le cubisme et des réflexions sur la statuaire africaine ; accord profond de l’ethnologue et de l’écrivain dans l’investigation d’un sacré de la vie quotidienne. L’œuvre dite « autobiographique » n’accepte plus que l’écriture soit le simple instrument d’une introspection : il s’agit moins, comme le souligne Leiris lui-même, d’une littérature « engagée », que d’une littérature dans laquelle l’homme « essaye de s’engager tout entier ». Ethnologie, poésie : non point deux activités parallèles, ou deux démarches qui s’expliqueraient réciproquement, ni surtout une quelconque « littérature ethnologique », mais les deux versants d’une même exigence, d’une anthropologie généralisée, qui préside aussi à la naissance d’une autre littérature.