« La fille devant les camps de la mort trois claques ma parole. »
À l'origine, une jeune fille s'était prise en photo à Auschwitz comme si c'était un lieu comme un autre, ce qui avait enflammé les réseaux sociaux. Ce fait divers devient une pièce qui fait entrer sur scène les moyens de communication d'aujourd'hui et leur écriture spécifique, et pose des questions morales : le titre en formule une, mais on doit s'interroger aussi sur la haine manifestée sur Internet par des intervenants que l'anonymat libère de toute mesure. Le théâtre nous permet de réfléchir à nos pratiques.