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Die Frage 'Warum fließt Kapital nicht von reichen zu armen Menschen? ' gab die Anregung zu dieser Arbeit, welche als eine Erklärungsansatz für die Unvollkommenheit des Kreditmarktes liefert. Während es bei der Kreditvergabe in den Industrieländern kaum noch Probleme gibt, weisen die Kreditnachfrager und -anbieter in den Entwicklungsländern dafür umso mehr auf. Vor allem sind die besitzlosen, unteren Einkommensschichten betroffen, da sie oftmals keinen Zugang zum formellen Kreditmarkt haben und deshalb nur auf informelle Kreditgeber angewiesen sind, die jedoch hohe Zinsen fordern und sich bei Kundenauswahl sehr selektiv verhalten. Nach gescheitertem Lösungsversuch mit subventionierten Kreditprogrammen (Mikrokreditprogramme erster Generation) kann man momentan überraschenderweise ein rasantes Wachstum von Mikrofinanzinstitutionen (MFI) beobachten. Am häufigsten kommen dabei Gruppenkredite vor, die als Synonym für Mikrokredite verstanden werden können und den Banken, sogar ohne Subventionen, hohe Rückzahlungsraten sicher stellen, ohne dabei die Verhältnismäßigkeit von Aufwand und Nutzen aus den Augen zu verlieren. In dieser Arbeit werden die Ergebnisse und Arbeitsweisen der Mikrokreditprogramme kritisch analysiert, Vor- und Nachteil von Gruppen- und Individualkrediten gegenübergestellt und die Frage beantwortet, welchen Einfluss soziale Bedingungen innerhalb der Gruppe auf die Rückzahlungsrate haben.