Avant de pouvoir cultiver son jardin, Maxence ne trouve la paix intérieure qu’après une expiation en bonne et due forme : errance ou rédemption ? Sans manichéisme, Jehan Coquebert de Neuville nous propose une lecture en clair obscur de la vie d’un homme comme tant d’autres, rompu par tout ce qui naguère le maintenait en vie : le devoir, les responsabilités, la reconnaissance. Une fresque, à n’en pas douter, plus que contemporaine...