Les photographies évoquent des moments de vie du peuple mongol, dans la ville qui porte encore les stigmates d'une domination soviétique, puis dans la steppe où la vie s'organise au rythme des troupeaux. Quant à la bande sonore, elle se perd dans les chants des moines bouddhistes, s'arrête quelque temps dans une yourte sous laquelle une vieille nomade, de sa voix cassée, chante les louanges de l'été...