Pour un écrivain, passer l'été dans
une grande ville permet de se
consacrer à son travail sans crainte
d'être dérangé. Mais cet été-là, la
veuve du conseiller aulique G.
décède brusquement, sans presque
plus de famille, avec un cercle de
relations très restreint. C'est donc
le narrateur, apparemment la seule
de ses connaissances à être restée à
Vienne, qu'on va prévenir, et qui va
se trouver chargé en plein mois
d'août d'organiser les funérailles de
cette dame, qu'il estimait mais
connaissait si peu...