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In Jochen Schmidts erstem Roman befindet sich der Ich-Erzähler in einer fatalen Situation: Er leidet an einer halbseitigen Gesichtslähmung, kann deshalb nur noch grinsen und muss ins Krankenhaus. Die Ursache für diese Erscheinung kann entweder Stress oder Entspannung nach Stress sein, und ähnlich klar fällt auch die Selbstanalyse des Helden aus. Irgendetwas ist schiefgelaufen, und weil sein Körper nicht mehr weiterzuwollen scheint, lässt er die Jahre nach der Wende noch einmal Revue passieren. Er wollte so geheimnisvoll wirken wie Heiner Müller, oder wenigstens so traurig wie J. D. Salinger, aber gleichzeitig in einer Punk-Band Gitarre spielen. Dabei gerät er in einen Kreis von Künstlern und Pseudokünstlern um den Maler Anselm und lernt dort Judith kennen, was sein Leben vom ersten Tag an verkompliziert. Er geht mit ihr in die französische Provinz, trifft dort Lucía, sein spanisches Schlamassel, und verliebt sich in Deborah, weil sie wie Woody Allen und der Break-Dance aus New York kommt. Aber seine Suche nach der Liebe scheitert immer wieder an seiner Unfähigkeit, sich zu entscheiden, und die angehäuften Erinnerungen machen ihm zusehends zu schaffen. Mit entwaffnender Selbstironie, einer bestechenden Beobachtungsgabe, mit Schwung und voller Komik erzählt Jochen Schmidt in diesem Roman, wie schwer und wie kurios es ist, in Zeiten universeller Ironie und gegen alle Widerstände sein Ziel zu verfolgen.