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Der jüdische Kaufmann Hugo Lewandowski war ein wohlhabender Mann. Er besaß eine Manufaktur in Kaunas, eine Fabrik in Königsberg, später einen Tabakwaren-Großhandel in Berlin. Dann nahmen ihm die Nazis alles weg, demütigten ihn und setzten ihn als Zwangsarbeiter in einer Rüstungsschmiede ein. Es war der 33. Osttransport, mit dem sie ihn schließlich 1943 von Berlin-Moabit ins Vernichtungslager Auschwitz verschleppten. Zurück blieben die beiden Kinder, die vergeblich auf seine Rückkehr warteten.
Nach dem Zweiten Weltkrieg verschwand Hugo Lewandowski ebenso wie seine Schwester Erna aus dem Gedächtnis der Familie. Seine Kinder sprachen nicht über die Vergangenheit, sie wollten sie weit hinter sich lassen und sich unbeschwert einer besseren Zukunft widmen.
Nun zeichnet der Enkel von Hugo Lewandowski, der Journalist Andreas Lorenz, den Lebens- und Todesweg seines Großvaters und dessen Schwester nach. Bei seinen Recherchen stieß er auf Opfer und Täter, auf Widerstandskämpfer und auf Industrielle, die mit den Nazis gemeinsame Sache machten.
Lorenz sucht dabei Antworten auf seine Fragen: Woher kam dieser teuflische Drang der Nazis, den Großvater zu vernichten? Warum floh der nicht mit seinen Kindern ins Ausland? Warum zog er 1937 von Königsberg ausgerechnet in die Nazi-Metropole Berlin? Wusste er, dass es seine letzte Reise war, als er in Berlin-Moabit in den Güterwagen Richtung Auschwitz klettern musste?