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Ob wir gegenwärtig eine Kunst haben, die sich zu Recht auf die Avantgardebewegungen aus dem Anfang des 20 Jahrhunderts berufen kann, ist mehr als fraglich. Warum die De-batte um die Avantgarde gleichwohl nicht abreißt, macht Peter Bürgers neues Buch verständlich. Die Avantgarden drängten über die Institution Kunst hinaus, sie wollten die Welt verändern. Damit sind sie gescheitert. Umso überwältigender ist ihr Erfolg innerhalb der Institution Kunst als Neo-Avantgarde. Auf diesem Paradox beruht nicht zuletzt die postavantgardistische Situation der Kunst. In seiner zuerst 1974 erschienenen und inzwischen in viele Sprachen übersetzten Theorie der Avantgarde hat Bürger die Umrisse einer Ästhetik nach Adorno skizziert, indem er die Eigenständigkeit der Avantgardebewegungen innerhalb der künstlerischen Moderne herausarbeitete. In seinem neuen Buch setzt er sich mit den wichtigsten Kritikern der Theorie der Avantgarde auseinander (Buchloh, Foster), konkretisiert seine Kritik an der Neo-Avantgarde (Nouveaux Réalistes, Minimal Art, Buren) und führt abschließend drei Positionen vor, die eine konsequente Antwort auf die postavantgardistische Situation der Kunst geben. (Beuys, Jeff Wall, Tacita Dean).Einleitung: Das zwiespältige Erbe der AvantgardeI. AVANTGARDE UND KEIN ENDE1. Theorie der Avantgarde im Widerstreit2. Avantgardebewegungen und Technik3. Der Surrealismus im Denken der PostmoderneII. ZUR KRITIK DER NEO-AVANTGARDE1. Die Nouveaux Réalistes2. Minimal Art3. Grenzen der Institutionskritik: Daniel Buren4. Konformismus der Verweigerung5. Die Kunst der Wirtschaft und die Wirtschaft der Kunst6. ZwischenbetrachtungIII. NACH DER AVANTGARDE1. Joseph Beuys, das Material und der Tod2. Jeff Wall: Der Rückgriff auf die malerische Tradition3. Tacita Dean: Schönheit als Provokation der ästhetischen Moderne.4. Ausblick: "Muss es sein?" DrucknachweiseBildnachweise